Nous vous l'avions promis ....
Voici un nouvel album photo .... notre premiere rando à Sacacomie
Pour les découvrir cliquez sur l'appareil photo
lundi 15 septembre 2008
samedi 6 septembre 2008
Québec
La seconde étape vers Québec s’est bien déroulée. Nous avons quitté Rivière du Loup sous le crachin (breton J !) pour trouver Québec sous le soleil.
En chemin, nous avons fait une halte aux chutes de Montmorency avant d’entrer à Québec. Cela nous a permis d’admirer les plus hautes chutes d’Amérique du Nord - 30 mètres de plus (84m) que celles du Niagara. Cependant elles ont moins imposantes car plus étroites. Néanmoins le spectacle est époustouflant le long du sentier qui les borde. Et quel frisson sur le pont suspendu qui les enjambe ! L’hiver les embruns provoqués par la chute gèlent et forment à son pied un pain de sucre féérique de plus de 30 mètres de haut, la chute se transforme elle-même en un immense mur de glace que les autochtones sportifs escaladent. 
Québec se révèle à la fois très urbaine avec de nombreux immeubles et tours modernes et très touristiques avec ses innombrables magasins de souvenirs et restaurants pour touristes !
Sur le plateau autour de l’imposant Château de Frontenac les rue Saint Jean et Saint Louis présentent de nombreuses boutiques colorées. Les ruelles voisines ne cessent de monter ou de descendre …. A Québec c’est simple on monte ou on descend ! C’est bon pour les fessiers me direz vous !
En empruntant l’escalier Casse Cou, on rejoint la basse ville et le quartier de la place royale : Le cœur Français de Québec et le berceau de la civilisation française en Amérique du Nord. Ce quartier est infiniment sympathique avec ses airs médiévaux, ses maisons pimpantes et fleuries, ses bistrots, ses ateliers d’artistes, ses galeries d’art et ses nombreux touristes !
L’Eglise Notre Dame des Victoires s’impose sur la Place Royale à l’emplacement de la seconde habitation de Samuel Champlain. Elle célèbre 2 victoires françaises contre les anglais et Sainte Geneviève patronne de Paris. Elle garde ainsi un parfum de nouvelle France chère aux Québécois.
La promenade le long du vieux port offre une autre perspective : c’est le site officiel des festivités du 400ème anniversaire de la création de la ville de Québec – pour ceux qui ne suivent pas … c’est cette année ! De nombreuses installations et expositions éphémères, des spectacles de rue s’offrent aux yeux émerveillés de chacun. Le soir, le Moulin à Image illumine le vieux port et les silos … nous en reparlerons certainement : c’est notre sortie de ce soir.
En chemin, nous avons fait une halte aux chutes de Montmorency avant d’entrer à Québec. Cela nous a permis d’admirer les plus hautes chutes d’Amérique du Nord - 30 mètres de plus (84m) que celles du Niagara. Cependant elles ont moins imposantes car plus étroites. Néanmoins le spectacle est époustouflant le long du sentier qui les borde. Et quel frisson sur le pont suspendu qui les enjambe ! L’hiver les embruns provoqués par la chute gèlent et forment à son pied un pain de sucre féérique de plus de 30 mètres de haut, la chute se transforme elle-même en un immense mur de glace que les autochtones sportifs escaladent. 
Québec se révèle à la fois très urbaine avec de nombreux immeubles et tours modernes et très touristiques avec ses innombrables magasins de souvenirs et restaurants pour touristes ! 
Sur le plateau autour de l’imposant Château de Frontenac les rue Saint Jean et Saint Louis présentent de nombreuses boutiques colorées. Les ruelles voisines ne cessent de monter ou de descendre …. A Québec c’est simple on monte ou on descend ! C’est bon pour les fessiers me direz vous ! 
En empruntant l’escalier Casse Cou, on rejoint la basse ville et le quartier de la place royale : Le cœur Français de Québec et le berceau de la civilisation française en Amérique du Nord. Ce quartier est infiniment sympathique avec ses airs médiévaux, ses maisons pimpantes et fleuries, ses bistrots, ses ateliers d’artistes, ses galeries d’art et ses nombreux touristes ! 
L’Eglise Notre Dame des Victoires s’impose sur la Place Royale à l’emplacement de la seconde habitation de Samuel Champlain. Elle célèbre 2 victoires françaises contre les anglais et Sainte Geneviève patronne de Paris. Elle garde ainsi un parfum de nouvelle France chère aux Québécois.
La promenade le long du vieux port offre une autre perspective : c’est le site officiel des festivités du 400ème anniversaire de la création de la ville de Québec – pour ceux qui ne suivent pas … c’est cette année ! De nombreuses installations et expositions éphémères, des spectacles de rue s’offrent aux yeux émerveillés de chacun. Le soir, le Moulin à Image illumine le vieux port et les silos … nous en reparlerons certainement : c’est notre sortie de ce soir.jeudi 4 septembre 2008
De Percé à Riviére du Loup
Ce soir pas de grand message pour cause d'itinéraire de liaison entre la Gaspesie et Quebec ville.
Nous dormons à Riviere du Loup au bord du Saint Laurent. Nous sommes encore à 200 Km de Québec que nous rejoindrons demain matin.
Merci à tous pour vos commentaires. Vous appreciez notre blog et nos photos vous font rêver...
Nous sommmes heureux de vous faire partager notre passion du Québec pour lequel nous sommes tombés en amour !
C'est promis à notre retour nous mettrons en ligne d'autres albums photos pour votre plaisir et pour le nôtre
Messages personnels de radio Quenelles au sirop d'érable sur 69.0 FM:
- Que ceux qui cherchent la solution de l'enigme toutes les nuits sans dormir pensent aux synonymes. Ils gagneront ainsi beaucoup de temps à consacrer à leur(s) partenaire(s) !
- Merci à l'agence de voyages Marie Antoinette et à son personnel pour son sympathique message !
- Gilbert, le sirop d'érable c'est délicieux mais c'est sans alcool !
- Poupounne question zezette, les carottes sont cuites !
- Cécile merci de ton assiduité sur le blog. Nous sommes heureux de te faire voyager avec nous . Bises
- Francis, c'est sympa de lire notre blog... j'espére que ce n'est pas pendant les heures de travail !!! Amitiés à tous les deux
- Les copines d'Aîda ont étè apercues à Percé ! lol
- Jean Francois ne t'inquiéte pas, ici tous les plats sont garnis de légumes et le poisson est bourré d'oméga 3 !
- Le TCCF est attendu dans les nombreux campings de Gaspésie; petites caravanes de moins de deux essieux s'abstenir !
- La ville de Lyon et le SDIS 69 devraient se remettre au travail! Qu'en pensez vous les Xaviers ?
- Les autres ... comment allez vous ?
Bon je vous quitte, je suis attendu d'urgence dans le bain bouillonant .....
mercredi 3 septembre 2008
Percé
Notre première vison nocturne de Percé nous a donné l’impression d’un charmant village où se côtoient tout de même les magasins de souvenirs et les billetteries pour l’île Bonaventure. Cette double impression est confirmée ce matin. Mais la baie est magnifique. Notre chambre donne sur le rocher Percé et l’île Bonaventure que nous visiterons aujourd’hui.
Nous prenons le bateau pour une traversée d’une heure, tour du rocher Percé et de l’île compris. Le ciel qui était d’un bleu parfait au petit déjeuner s’est subitement bouché avec ce que la météo appellerait des entrées maritimes. Cela ne fait pas vraiment notre affaire. Nous espérons que le ciel se dégagera comme souvent en cours de journée.
Notre bateau longe les hautes et longues falaises à l’arrière de l’île où niche une colonie de Fous de Bassan de 56 000 couples. Impressionnant.
L’île est également un Parc National.
Nous décidons d’emprunter le sentier des mousses qui nous conduira à la colonie des Fous de Bassan en 1h30. Ce sentier passe par le nord de l’île dans de jolis sous-bois puis longe la falaise avant de rejoindre la colonie.
Là un spectacle étonnant nous attend, des dizaines de milliers de Fous de Bassan agglutinés les uns contre les autres sur cette petite portion de falaise. Le tout à moins de 5 mètres de nous. Ils ne semblent absolument pas dérangés par les nombreux appareils photos qui se déchainent ! Le spectacle est merveilleux, le vol du Fou de Bassan est gracieux mais un peu fou : après un avoir repéré sa proie d’une trentaine de mètres il pique tête baissée, ailles repliées dans la mer où il pourchasse sa proie jusqu’a l’attraper et l’avaler avant de redécoller. Néanmoins l’odeur est pestilentielle et après avoir pris quelques photos nous reprenons notre marche sans nous attarder trop longtemps.
Nous empruntons le chemin du Roy qui contourne l’île par le sud cette fois et nous ramènera à notre point de départ en 1h30. En route nous nous arrêterons dans la petite baie des marigaux où s’amuse un groupe de quelques 20 phoques. Merci les phoques d’avoir pointés le bout de votre nez ! Nous profitons de cette halte pour nous baigner … les pieds ! Un véritable bienfait d’autant que le ciel s’est finalement dégagé et que la température monte. Sur le chemin du retour notre surprise est grande quand au détour d’un chemin un magnifique renard roux pourvu d’une magnifique queue en panache terminée de blanc débouche tranquillement à moins d’un mètre de nous. Nous nous arrêtons silencieux pour l’observer. Il n’est nullement apeuré. Il décide d’emprunter notre chemin nous précédant de quelques mètres. Il nous observe de temps en temps puis coupe à travers champs tranquillement. Nous sommes émerveillés.
Nous reprenons le bateau avec une dernière vue sur le rocher Percé maintenant ensoleillé. A regret nous quittons Percé vers Bonaventure notre prochaine étape dans la baie des chaleurs.
Nous prenons le bateau pour une traversée d’une heure, tour du rocher Percé et de l’île compris. Le ciel qui était d’un bleu parfait au petit déjeuner s’est subitement bouché avec ce que la météo appellerait des entrées maritimes. Cela ne fait pas vraiment notre affaire. Nous espérons que le ciel se dégagera comme souvent en cours de journée.
Notre bateau longe les hautes et longues falaises à l’arrière de l’île où niche une colonie de Fous de Bassan de 56 000 couples. Impressionnant.L’île est également un Parc National.
Nous décidons d’emprunter le sentier des mousses qui nous conduira à la colonie des Fous de Bassan en 1h30. Ce sentier passe par le nord de l’île dans de jolis sous-bois puis longe la falaise avant de rejoindre la colonie. 
Là un spectacle étonnant nous attend, des dizaines de milliers de Fous de Bassan agglutinés les uns contre les autres sur cette petite portion de falaise. Le tout à moins de 5 mètres de nous. Ils ne semblent absolument pas dérangés par les nombreux appareils photos qui se déchainent ! Le spectacle est merveilleux, le vol du Fou de Bassan est gracieux mais un peu fou : après un avoir repéré sa proie d’une trentaine de mètres il pique tête baissée, ailles repliées dans la mer où il pourchasse sa proie jusqu’a l’attraper et l’avaler avant de redécoller. Néanmoins l’odeur est pestilentielle et après avoir pris quelques photos nous reprenons notre marche sans nous attarder trop longtemps. 
Nous empruntons le chemin du Roy qui contourne l’île par le sud cette fois et nous ramènera à notre point de départ en 1h30. En route nous nous arrêterons dans la petite baie des marigaux où s’amuse un groupe de quelques 20 phoques. Merci les phoques d’avoir pointés le bout de votre nez ! Nous profitons de cette halte pour nous baigner … les pieds ! Un véritable bienfait d’autant que le ciel s’est finalement dégagé et que la température monte. Sur le chemin du retour notre surprise est grande quand au détour d’un chemin un magnifique renard roux pourvu d’une magnifique queue en panache terminée de blanc débouche tranquillement à moins d’un mètre de nous. Nous nous arrêtons silencieux pour l’observer. Il n’est nullement apeuré. Il décide d’emprunter notre chemin nous précédant de quelques mètres. Il nous observe de temps en temps puis coupe à travers champs tranquillement. Nous sommes émerveillés.
Nous reprenons le bateau avec une dernière vue sur le rocher Percé maintenant ensoleillé. A regret nous quittons Percé vers Bonaventure notre prochaine étape dans la baie des chaleurs. De Sainte Anne des Monts à Gaspé
Nous quittons Sainte Anne des Monts sans avoir le temps de rejoindre le parc national de la Gaspésie, où nous avions envisagé de faire une randonnée sur les multiples sentiers aménagés ; Notre plan de route ne nous le permet pas. Nous nous arrêterons néanmoins dans le Parc National du Forillon.
Avant de partir, nous visitons tout de même l’expo en plein air de sculpture sur bois flotté. Le bois flotté est façonné par la mer, les vagues et les galets. Il est ensuite « cueilli » au bord de l’eau. Il sert alors de décoration dans les maisons ou pour les plus grosses pièces dans les jardins. De nombreux artistes locaux l’utilisent pour des sculptures où ils cherchent à mettre en valeur les aspects torturés du bois.
Halte repas à Cap des Rosiers au café de l’anse, ancien entrepôt frigorifique transformé en un restaurant et un centre culturel sympathiques. Nous dégustons une brandade de morue et une enfumée de la mer : maquereau fumé, calamars confits et saumon fumé…. Léger et délicieux.
La route 132 entre maintenant dans les terres.
Nous voilà au milieu des forets immenses entre monts et vallons. La dodge ronronne en fait dans les montée elle fait un maximum de bruit à cause de l’embrayage automatique … Où sont nos bonnes vieilles boites de vitesses ?
Un peu plus tard nous faisons le détour pour rejoindre la Baie des Amérindiens. La route qui nous y mène surplombe la mer : génial ! Nous apercevons Des phoques qui pèchent à quelques mètres seulement de la plage.
Nous poursuivons notre longue route vers Percé. Il nous tarde d’arriver. … La descente vers Percé nous réserve un dernier spectacle éblouissant. Nous arrivons à l’hôtel alors que la nuit tombe déjà… il n’est que 19h30 !
Nous finirons la journée à La Morutière devant « une brise de mer » : assiette composée d’un pavé de saumon, de langues de morues poêlées et s’il vous plait, de pinces de homard frais …. Vous devez en avoir l’eau à la bouche …
Avant de partir, nous visitons tout de même l’expo en plein air de sculpture sur bois flotté. Le bois flotté est façonné par la mer, les vagues et les galets. Il est ensuite « cueilli » au bord de l’eau. Il sert alors de décoration dans les maisons ou pour les plus grosses pièces dans les jardins. De nombreux artistes locaux l’utilisent pour des sculptures où ils cherchent à mettre en valeur les aspects torturés du bois.
La route borde la mer sur une étroite de bande de terre à flanc de montagne. Cette corniche de plusieurs centaines de kilomètres est impressionnante et magnifique. De charmants petits villages sont nichés dans chaque anse.
Halte repas à Cap des Rosiers au café de l’anse, ancien entrepôt frigorifique transformé en un restaurant et un centre culturel sympathiques. Nous dégustons une brandade de morue et une enfumée de la mer : maquereau fumé, calamars confits et saumon fumé…. Léger et délicieux.La route 132 entre maintenant dans les terres.
Nous voilà au milieu des forets immenses entre monts et vallons. La dodge ronronne en fait dans les montée elle fait un maximum de bruit à cause de l’embrayage automatique … Où sont nos bonnes vieilles boites de vitesses ? Dans le parc nous avons prévu deux haltes pour couper la route. Une randonnée d’une petite heure pour découvrir une plaisante chute.
Un peu plus tard nous faisons le détour pour rejoindre la Baie des Amérindiens. La route qui nous y mène surplombe la mer : génial ! Nous apercevons Des phoques qui pèchent à quelques mètres seulement de la plage.
Nous poursuivons notre longue route vers Percé. Il nous tarde d’arriver. … La descente vers Percé nous réserve un dernier spectacle éblouissant. Nous arrivons à l’hôtel alors que la nuit tombe déjà… il n’est que 19h30 ! Nous finirons la journée à La Morutière devant « une brise de mer » : assiette composée d’un pavé de saumon, de langues de morues poêlées et s’il vous plait, de pinces de homard frais …. Vous devez en avoir l’eau à la bouche …
lundi 1 septembre 2008
A nous la Gaspésie !
Ce matin nous quittons le Saguenay… Cap sur la Gaspésie !
Pour cela nous devons redescendre le fjord du Saguenay et suivre le Saint Laurent vers le Nord jusqu'à Forestville , où nous prenons le traversier qui nous permettra de rejoindre l’autre rive située à plus de 40 km … Toujours les grands espaces ….
Après une heure de traversée agréable nous accostons à Rimouski. Le temps à changé, le ciel est gris mais le soleil offre une merveilleuse lumière sur cette côte que nous allons découvrir. La température est plus fraiche, nous sortirons pour la première fois les petites laines que nous avons emmenées en prévision… pas folles les guêpes ! La météo annonce cependant un retour au très beau temps à partir du lendemain.
Nous entrons doucement en Gaspésie par « La côte ». La route longe l’interminable Saint Laurent qui va devenir peu à peu la mer ! Nous sommes à quelques mètres de l’eau simplement ; les paysages sont maritimes sauvages baignés par cette magnifique lumière. De charmantes maisons les pieds dans l’eau bordent la route. Partout sur les plages du bois flotté aux aspects tourmentés… nous en reparlerons.
Un petit détour par le parc éolien de Cap Chat, nous permet d’admirer les 133 éoliennes et la plus grande éolienne à axe vertical du monde – Hélas le parc est déjà fermé nous ne pourront faire la visite guidée.
Sainte Anne des Monts est située sur une côte escarpée entre mer et montagne !Petite promenade pour admirer le coucher de soleil sur le Saint Laurent – la mer, des couleurs magnifiques, puis nous nous dirigeons vers le pub « Chez Bass ». Dans une ambiance de bistro de marins où l’apparition d’un Cap Hornier pipe en écume à la bouche compléterait le décor nous savourons un plat de pétoncles au pernod. Exquis ! Nous vous le recommandons si vous passez par là !
Pour cela nous devons redescendre le fjord du Saguenay et suivre le Saint Laurent vers le Nord jusqu'à Forestville , où nous prenons le traversier qui nous permettra de rejoindre l’autre rive située à plus de 40 km … Toujours les grands espaces ….
Après une heure de traversée agréable nous accostons à Rimouski. Le temps à changé, le ciel est gris mais le soleil offre une merveilleuse lumière sur cette côte que nous allons découvrir. La température est plus fraiche, nous sortirons pour la première fois les petites laines que nous avons emmenées en prévision… pas folles les guêpes ! La météo annonce cependant un retour au très beau temps à partir du lendemain.
Nous entrons doucement en Gaspésie par « La côte ». La route longe l’interminable Saint Laurent qui va devenir peu à peu la mer ! Nous sommes à quelques mètres de l’eau simplement ; les paysages sont maritimes sauvages baignés par cette magnifique lumière. De charmantes maisons les pieds dans l’eau bordent la route. Partout sur les plages du bois flotté aux aspects tourmentés… nous en reparlerons.
Un petit détour par le parc éolien de Cap Chat, nous permet d’admirer les 133 éoliennes et la plus grande éolienne à axe vertical du monde – Hélas le parc est déjà fermé nous ne pourront faire la visite guidée.Nous arrivons à Sainte Anne des Monts notre destination finale. Cette bourgade de 7000 habitants a la particularité d’être à la fois une station de bord de mer et une station de ski ! Hé oui, ici il est possible de skier jusqu’à 0 mètre d’altitude !
Sainte Anne des Monts est située sur une côte escarpée entre mer et montagne !Petite promenade pour admirer le coucher de soleil sur le Saint Laurent – la mer, des couleurs magnifiques, puis nous nous dirigeons vers le pub « Chez Bass ». Dans une ambiance de bistro de marins où l’apparition d’un Cap Hornier pipe en écume à la bouche compléterait le décor nous savourons un plat de pétoncles au pernod. Exquis ! Nous vous le recommandons si vous passez par là !Absolutly Fabulous !
Pourrions-nous renommer notre blog ? Que dites vous de « baleines au sirop d’érable » ?
Pourquoi je vous parle de baleines aujourd’hui ? Simplement parce que hier, nous avons zappé une partie de l’itinéraire prévu pour aller faire une croisière d’observation des baleines dans la baie de Tadoussac.
Au bout de quelques minutes, premier arrêt : notre pilote nousmontre au loin une baleine (petit rorqual commun – environ 9 mètres) qui remonte régulièrement à la surface. Effectivement, au loin, nous observons le dos d’un cétacé qui émerge à la surface. Nous sommes déjà contents, le contrat est rempli : nous avons vu de nos yeux vu une baleine ! Certes, c’est un peu loin … mais bon !
Notre pilote-guide nous dit « c’est la baleine à bosse, la seule dont on voit parfois la queue ressortir, mais aujourd’hui vous serez déçus, je n’ai pas encore vu sa queue depuis le début de la saison. Elle est plutôt somnolente cet été ». Qu’a cela ne tienne, nous avons déjà vue son dos, puis quelques minutes d’observation plus tard, nous voyons distinctement sa bosse … que demander de plus ! …. Quelques minutes plus tard … le spectacle est fabuleux … elle sort de l’eau d’abord la bosse puis le dos et pour finir elle replonge dans les profondeurs en nous faisant l’honneur de nous dévoiler sa superbe queue hors de l’eau … wahou ! Avant de replonger et de partir plus loin elle nous offre ce spectacle une deuxième fois. Superbe ! Grandiose et exceptionnel ! Tout le zodiac et son pilote reste sous le charme de ce moment majestueux.
Et là, après quelques minutes de calme sur l’eau : c’est l’apothéose 3 baleines dont une énorme (un rorqual commun qui peut mesurer jusqu'à 25 m environ et peser prés de 100 tonnes) viennent à la surface se rassasier dans ce garde manger naturel ! Elles sortent régulièrement de l’eau, leurs gueules béantes pour engloutir des tonnes d’eau et des millions de crevettes.
Pendant une demi-heure, de loin, de prés, devant, derrière, à droite, à gauche, c’est un festival : absolument fabuleux !
Pourquoi je vous parle de baleines aujourd’hui ? Simplement parce que hier, nous avons zappé une partie de l’itinéraire prévu pour aller faire une croisière d’observation des baleines dans la baie de Tadoussac.
Les croisières d’observation des baleines sont très controversées. Elles sont ventées dans tous les » qui gêne considérablement ces aimables cétacés. Il est vrai qu’arrivés à Tadoussac, la capitale mondiale de la baleine, nous avons été frappés par le nombre de panneaux publicitaires et d’estancos ventant l’observation de la baleine. Ici, tout le monde a l’air de vivre de ce commerce. A Tadoussac, vous retirez la baleine, y a plus rien !
Pour ceux qui nous connaissent un peu, nous ne voulions pas tomber dans ce « piège à touristes ». D’autant que nous avions entendu tout et son contraire : soit on peut voir quelques baleines, soit on aperçoit un semblant d’ombre de baleine au large …. Que penser de tout cela ? Quel avis avoir sur la question ?… Peut-être en faire l’expérience par nous même !
Nous avons donc décidé de faire une croisière d’observation des baleines, mais en nous éloignant des sentiers touristiques. Nous avons choisi de la faire non pas à Tadoussac, mais une trentaine de km au nord, dans un petit village joliment appelé « Les Bergeronnes », non pas sur un des gros bateaux embarquant 300 passagers avides de belles images, mais dans un Zodiac avec 10 autres passagers. Et là, je peux vous assurer, les sensations sont déjà plus fortes ! En plus, et c’est un point qui nous tenait à cœur, ce type d’embarcation est le moins dérangeant pour les baleines. Imaginez un zodiac et un énorme bateau, c’est comme comparer une Smart et une semi-remorque ! http://www.essipit.com/
Pour ceux qui nous connaissent un peu, nous ne voulions pas tomber dans ce « piège à touristes ». D’autant que nous avions entendu tout et son contraire : soit on peut voir quelques baleines, soit on aperçoit un semblant d’ombre de baleine au large …. Que penser de tout cela ? Quel avis avoir sur la question ?… Peut-être en faire l’expérience par nous même !
Nous avons donc décidé de faire une croisière d’observation des baleines, mais en nous éloignant des sentiers touristiques. Nous avons choisi de la faire non pas à Tadoussac, mais une trentaine de km au nord, dans un petit village joliment appelé « Les Bergeronnes », non pas sur un des gros bateaux embarquant 300 passagers avides de belles images, mais dans un Zodiac avec 10 autres passagers. Et là, je peux vous assurer, les sensations sont déjà plus fortes ! En plus, et c’est un point qui nous tenait à cœur, ce type d’embarcation est le moins dérangeant pour les baleines. Imaginez un zodiac et un énorme bateau, c’est comme comparer une Smart et une semi-remorque ! http://www.essipit.com/
Pour ne pas être déçus, après ce que nous avions entendu de part et d’autre, nous partions en nous disant : si nous voyons une baleine au loin, nous serons déjà content de notre aventure !
Une fois accoutrés de combinaison bibendum, nous prenons le large à bord du zodiac.
Au bout de quelques minutes, premier arrêt : notre pilote nousmontre au loin une baleine (petit rorqual commun – environ 9 mètres) qui remonte régulièrement à la surface. Effectivement, au loin, nous observons le dos d’un cétacé qui émerge à la surface. Nous sommes déjà contents, le contrat est rempli : nous avons vu de nos yeux vu une baleine ! Certes, c’est un peu loin … mais bon !Nous repartons à vive allure vers un autre site. Nouvel arrêt : il y a dans le coin, une baleine à bosse (15 à 20 mètres de long)…. Nous scrutons à bâbord, à tribord, devant, derrière, 13 paires d’yeux sont à l’affut! Tout d’un coup, un cri « oh my god ! », notre voisine de gauche, une jeune québécoise s’extasie devant un énorme dos de baleine qui sort de l’eau, pas très loin de nous … effectivement, c’est impressionnant !
Notre pilote-guide nous dit « c’est la baleine à bosse, la seule dont on voit parfois la queue ressortir, mais aujourd’hui vous serez déçus, je n’ai pas encore vu sa queue depuis le début de la saison. Elle est plutôt somnolente cet été ». Qu’a cela ne tienne, nous avons déjà vue son dos, puis quelques minutes d’observation plus tard, nous voyons distinctement sa bosse … que demander de plus ! …. Quelques minutes plus tard … le spectacle est fabuleux … elle sort de l’eau d’abord la bosse puis le dos et pour finir elle replonge dans les profondeurs en nous faisant l’honneur de nous dévoiler sa superbe queue hors de l’eau … wahou ! Avant de replonger et de partir plus loin elle nous offre ce spectacle une deuxième fois. Superbe ! Grandiose et exceptionnel ! Tout le zodiac et son pilote reste sous le charme de ce moment majestueux.Remis de nos émotions, car je peux vous garantir que c’est impressionnant, nous regagnons un autre site. En route, nous découvrons les marsouins et des phoques : mignons mais moins impressionnant, vous vous en doutez ! Ce nouveau site, regorge de petites crevettes, le mets préférés des baleines.
Et là, après quelques minutes de calme sur l’eau : c’est l’apothéose 3 baleines dont une énorme (un rorqual commun qui peut mesurer jusqu'à 25 m environ et peser prés de 100 tonnes) viennent à la surface se rassasier dans ce garde manger naturel ! Elles sortent régulièrement de l’eau, leurs gueules béantes pour engloutir des tonnes d’eau et des millions de crevettes. 
Pendant une demi-heure, de loin, de prés, devant, derrière, à droite, à gauche, c’est un festival : absolument fabuleux !Mais comme tout à une fin et que le jour commence à tomber – nous offrant de surcroit de jolis couleurs sur le Saint Laurent – nous rentrons au port des images formidables plein les yeux ! Merci la nature pour ce spectacle extraordinaire.
Nous sommes super contents d’avoir zappé une partie de l’itinéraire au bénéfice de cette croisière, et nous excusons auprès de ces gros cétacés de les avoir gênés un tout petit peu ! Mais notre guide à su se montrer respectueux de ces géants des mers si fragiles cependant.
NB : les photos que vous trouverez sur cette aventure sont belles – merci au photographe – mais elles ne retranscrivent que partiellement le spectacle qui nous a été donné de voir !
PS: A propos du titre de ce billet, nous précisons aux addicts de la série CULte (et en particulier à Marie Antoinette) que nous réfutons toute ressemblance entre Eddy et Patsy et nous deux ! Qu'on se le dise !
Inscription à :
Articles (Atom)
Articles
